« Pandémie de SRAS-Covid 19 », leçons de vie
Nous sommes au milieu d’une véritable tempête. La leçon que la vie nous donne aujourd’hui est cruciale et nous ne devons pas la négliger.
Observatoire de la dignité de la personne humaine en Europe
Nous sommes au milieu d’une véritable tempête. La leçon que la vie nous donne aujourd’hui est cruciale et nous ne devons pas la négliger.
La Corte Costituzionale italiana ha depenalizzato, a certe condizioni, l’aiuto al suicidio fino ad ora vietato in ogni caso. Le decisioni hanno fatto molto discutere anche per perché la Corte ha calpestato le regole della democrazia arrogandosi un potere che non le compete.
Ni bio ni éthique, le projet de loi que les sénateurs sont appelés à voter ne protège pas la dignité de l’embryon mais l’intérêt des chercheurs, analyse Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme-Lejeune, dans une tribune publiée dans l’hebdomadaire Valeurs actuelles.
Les tâches de la Plateforme culturelle One of Us et de son Observatoire de la dignité de la personne humaine en Europe. « Il ne suffit pas de s’élever contre la mainmise du marché et de la technologie qui est à son service. Il faut encore savoir et faire savoir ce qu’est l’homme, quelle en est la dignité, quels sont ses devoirs.
Face à cette « culture » que l’on voudrait nous imposer, nous nous demanderons quelle culture — une vraie — nous voulons vraiment, et comment travailler à son avènement. »
À l’occasion du colloque de lancement de la plateforme européenne One of Us, ce 23 février à Paris, le philosophe Pierre Manent répond aux questions d’Aleteia-France et du quotidien ABC (Espagne) sur les causes culturelles de la crise européenne.
Quelle est la bonne mesure des choses, en particulier de la chose politique ? Même si la nation ne constitue pas la forme naturelle et nécessaire de l’existence politique, nous avons besoin d’une forme qui ait une autorité comparable pour remplir cette fonction nécessaire de « mesurer le monde ». Communication au colloque de la plateforme culturelle européenne One of Us, Paris, Palais du Luxembourg, 23 février 2019.
Le lien entre personne et bien commun n’est pas une évidence. Pour beaucoup, les droits de l’individu s’opposent par définition aux exigences de la vie en commun. C’est pourtant dans l’articulation harmonieuse entre les deux que le bonheur de chacun et de tous peut se réaliser.
Le CCNE s’est donné pour fonction, dans le dispositif actuel, d’encadrer les « avancées » scientifiques et technologiques. Ce terme utilisé par son président présuppose qu’il y a un sens de l’histoire et qu’il faut travailler à ce que ces « avancées » n’entrent pas en conflit avec la conscience commune de la société.
L’Europe est en crise, sociale, économique, politique, démographique. Peu nombreux sont les intellectuels qui s’interrogent sur le vide spirituel et moral qui en est peut-être la cause profonde, et qui tentent de l’empêcher de produire ses effets destructeurs. Unir leurs travaux dans le cadre d’un Observatoire de la dignité de la personne humaine en Europe est la mission que s’est donnée la plateforme culturelle européenne One of Us, qui se réunit à Saint-Jacques-de-Compostelle le 19 octobre prochain.
L’objectif de cette étude est d’introduire aux enjeux de la nouvelle éthique qui s’est imposée mondialement depuis la fin de la Guerre froide, et d’encourager les chrétiens au discernement. Une révolution culturelle mondiale s’est produite directement après la chute du mur de Berlin de 1989 : un nouveau langage, de nouveaux paradigmes, normes, valeurs, styles de vie, méthodes éducatives et processus de gouvernance, appartenant à une éthique nouvelle – à la fois postmoderne et, dans ses aspects radicaux, post judéo-chrétienne – se sont imposés avec un succès foudroyant partout dans le monde.